A propos du Perrier

À propos de nous

Nous sommes Nico Koppen et Coby van Os et voudrions vous souhaiter la bienvenue. Nous souhaitons également vous présenter ces magnifiques et paisibles gîtes que nous avons créés pour vous sur ce beau morceau de terre.

En 1995, nous avons quitté les Pays-Bas pour la France, pour trouver le Perrier en 2000. Cette année là en ruine, le Perrier est devenu notre nouveau logement en 2002 après de gros travaux de rénovation. Les premiers invités ont également emménagé dans les gîtes.

Coby (1950) a travaillé pendant de nombreuses années comme infirmière aux Pays-Bas et plus tard en France. Aujourd’hui elle travaille comme thérapeute/coach. Voir le site: www.cobyvanos.com

Nico (1950) a passé une grande partie de sa vie à Montréal, dans la partie francophone du Canada. Là, il a travaillé dans les domaines de la décoration d’intérieur, de la vidéo et du film. Nico est le gérant et l’hôte du Perrier.

L’histoire du Perrier

La ferme

Le Perrier est à l’origine une ferme provençale datant du 17ème siècle et a toujours été habitée par la famille Perrier. Le Perrier n’a donc rien à voir avec la marque d’eau de source Perrier. Le Perrier est en grande partie construit sur le rocher qui a donné son nom aux anciens habitants.

Ce qui est maintenant le gîte Masure a été la ferme d’origine. Au fil des années, plusieurs générations ont peu à peu agrandi l’espace, jusqu’à créer la grande ferme qui existe aujourd’hui.

Des membres de la famille protestante Le Perrier sont enterrés dans un petit cimetière fortifié sur le terrain. Le cimetière date de l’époque où les protestants n’avaient aucun droit civil dans la France catholique. Les protestants n’étant pas autorisés à être enterrés dans les cimetières municipaux, les fermiers protestants avaient leur propre lieu de repos sur leurs terres.

– Pendant la Seconde Guerre mondiale, une famille juive de Paris s’est cachée au Perrier.  –

La marque

La maison principale et la maison voisine, maintenant le gîte Masure, ont complètement brûlé en 1995. Le propriétaire d’alors, un Suisse (de Berne), avait partiellement rénové la maison principale et l’avait utilisée comme maison de vacances.

Que l’incendie ait été allumé par des vandales ou qu’il s’agisse d’un court-circuit dans les lignes électriques auto-installées n’a jamais été élucidé. Dans le salon de la maison principale, nous avons assisté à la première rencontre avec Le Perrier sur un tas de décombres, alors que des arbres poussaient dans la salle de bain.

La rénovation

Le Perrier a été acheté comme ruine à la fin de 2000 par les gestionnaires et les propriétaires actuels. Une fois l’architecte ayant re-designé l’espaces existant et que le permis de rénovation fut valide, les travaux ont commencé en octobre 2001. Celles-ci dureraient environ neuf mois.

Un soir de fin octobre 2001, lorsque les ruines furent complètement nettoyées et qu’il n’y eu plus de toit, une incroyable pluie tomba en pleine nuit. L’un des murs intérieurs en pierre naturelle, haut de deux étages et d’une épaisseur de 60 centimètres, s’effondra comme un pouding. Juste au moment où nous avons été surpris de constater que ce mur n’avait pas de fondations. Pour la majorité des murs du Perrier, cela n’était pas nécessaire non plus, car le complexe est en grande partie construit sur un rocher. Les fondations ont été appliquées si nécessaire et le mur a été complètement reconstruit, maintenant avec du béton armé.